Archive actualités Groupe IGs partie 4

Archive actualités Groupe IGs partie 4

Forum Handi Cap Alternance au campus de Toulouse

L’objectif de ce forum : donner la parole à des étudiants du campus en situation de handicap et à leurs tuteurs. Parmi les entreprises représentées, on comptait Orange, Akka Technologies, CGI, DSi et le Domaine de la Cadène.

Accompagnés de leurs tuteurs, les quatre étudiants ont exposé leur parcours avant d’expliquer leurs missions au sein de l’entreprise.

Éric, alternant au sein du groupe Orange, a repris ses études à 27 ans en intégrant un BTS MUC au sein du Campus IGS Alternance. Malgré sa difficulté à accepter son handicap, il est actif au sein de la vie du Campus en tant que membre du BDE et constitue un élément moteur au sein de sa classe. « Je suis plus heureux maintenant ! » s’est-il exclamé lors de l’événement.

A la suite d’un parcours en faculté, Thomas a intégré l’IPI en Bac +3 « Concepteur Développeur » en alternance au sein de CGI. Il se bat contre l’image négative renvoyée par le handicap en France en pratiquant depuis 5 ans le rugby-fauteuil. Considérant le sport comme un bon vecteur de communication, il souhaite organiser un tournoi de « cécifoot » sur le campus pour sensibiliser les étudiants et le personnel au handicap. Il a souligné : « on ne subit pas la vie, nous ne sommes pas tristes ou fades mais des personnes actives, on bouge ! »

Saida, 30 ans, reprend ses études en BTS « Assistant de Gestion ». Elle est en alternance au sein du Domaine de la Cadène, établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). « Trouver un travail est un combat pour tous. Nous n’avons pas plus d’avantages que les autres. »

Yves, 33 ans, a transformé sa passion de l’informatique en métier en reprenant ses études et en intégrant l’IPI en alternance au sein d’Akka Technologies. Il insiste : « il y a toujours une porte de sortie, c’est une histoire de dignité. »

Ces témoignages ont démontré au public présent (Cap Emploi, Face Grand Toulouse, étudiants et professionnels…), l’importance d’accepter son handicap et d’en parler, car comme l’a justement précisé Vanessa, tutrice d’Éric : « notre différence est notre force au quotidien. »

Les étudiants admissibles présents à l’événement ont apprécié d’entendre les témoignages des étudiants du Campus et de leurs tuteurs. Comme l’a expliqué Pauline, candidate au BTS « Assistant de Manager », le jour de l’événement, « écouter les témoignages des étudiants et voir qu’ils ont réussi autant au sein du Campus qu’en entreprise m’a énormément rassurée ». A l’issue de l’événement, Pauline a obtenu deux entretiens de recrutement en alternance et a été sélectionnée pour un poste d’assistante de manager au sein d’Akka !


C. Costa-Savelli, directrice du CFA CODIS, adresse les enjeux et défis de l’apprentissage sur LCP Sénat

Changer l’image de l’apprentissage et lui redonner ses lettres de noblesse est un travail d’envergure. Le sujet a été adressé par le gouvernement à travers la loi « pour se choisir un avenir professionnel », mais qui doit également l’être par l’ensemble des parties prenantes : établissements de formation, lycées, parents, maîtres et entreprises d’apprentissage…

Mardi 14 mars, Caroline Costa-Savelli, directrice du centre de formation en apprentissage CFA CODIS, du Groupe IGS, était invitée sur le plateau de Public Sénat. A ses côtés sur le plateau : Marie Caroline Missir, spécialiste de l’éducation et directrice du développement de Digischool, François Bonhomme, sénateur du Tarn-et-Garonne et de Nicolas Gouin, maître d’apprentissage pâtissier chocolatier. ont répondu ensemble et en direct aux questions de Delphine Girard, journaliste de l’émission Sénat 360.

 


Quels sont les enjeux liés à l’apprentissage ?

Une image erronée

Les experts s’accordent sur le défaut d’image de l’apprentissage. Pour beaucoup, il s’agit encore d’une voie dite « de garage », alors que les exemples européens en Allemagne ou en Autriche notamment, marquent bien la corrélation entre apprentissage et insertion professionnelle réussie. En effet, chez nos voisins autrichiens, 46% des jeunes adultes en formation sont en apprentissage, et les résultats sont là : le chômage des jeunes est proportionnellement beaucoup plus bas qu’en France ou seuls 7% des étudiants sont en formation en apprentissage. Certes, si l’apprentissage n’est pas la seule solution contre le chômage des jeunes, il dote cependant les apprenants d’une vraie expérience de travail, d’une rigueur et de nombreuses compétences largement recherchées par les recruteurs.

Un manque de prescripteurs

Devant les caméras de Public Sénat, Caroline Costa-Savelli et les autres invités opinent largement que le défaut d’image de l’apprentissage est lié à un manque de prescripteurs. L’entourage proche des jeunes en phase d’orientation ne connaît que peu la voie de l’apprentissage. En effet, les familles des apprenants en lycée comme leurs enseignants et conseillers en orientation connaissent parfois mal la filière de l’apprentissage ; eux-mêmes n’étant généralement pas passés pas cette voie-là.

Une voie d’excellence mal connue

La méconnaissance de l’apprentissage l’englue dans une image dont il a du mal à se défaire. Et pourtant, l’apprentissage est aujourd’hui bien loin des clichés qu’on lui attribuait : il est accessible aux excellents comme aux moins bons élèves ; permet d’obtenir le même diplôme qu’en formation initiale et surtout donne accès à de nombreuses filières allant du commerce et marketing à la menuiserie, des métiers de la banque à ceux de la restauration… Caroline Missir insiste notamment sur le fait que de nombreuses formations supérieures en apprentissage donnent accès à des filières d’excellence et qui recrutent largement, c’est notamment le cas de la filière numérique qui a besoin de diplômés qualifiés ayant déjà développé des compétences propres à l’entreprise.

Les avantages liés à l’apprentissage et l’alternance sont nombreux mais parfois méconnus ; découvrez-les !

 


Une semaine au grand air pour bien démarrer l’année

Le BDA, Bureau des Associations du Groupe IGS, géré par les étudiants du Groupe, est en charge de gérer la vie associative du campus et de l’animer par des événements culturels, festifs et fédérateurs. Ainsi, du 6 au 13 janvier 2018, le BDA a invité les apprenants du Groupe IGS à profiter d’une semaine de sports d’hiver à la station de Saint Sorlin d’Arves.

Ils ont chaussé leurs skis dès le samedi 6 janvier, jour de leur arrivée à la station. Une semaine durant, ils ont pu enchaîner les activités sportives : ski, foot sur neige, course de luge; et festives : barbecue, tournoi de beer-pong, soirée raclette.

Cette semaine, spécialement libérée de cours pour qu’ils puissent profiter d’un moment fédérateur, a enchanté les organisateurs comme les participants. Une semaine riche qui leur a permis d’apprendre à se connaître en dehors de leur environnement habituel du campus.

 

Découvrez le BDA du Groupe IGS !


Les évolutions du monde informatique dans un monde hyperconnecté

Partout dans le monde, l’interconnexion entre les entreprises, les personnes et les objets réinvente les facettes du monde informatique. Au vu des atouts indéniables qu’elle apporte (tâches automatisées, source infinie de données, travail collaboratif, accès à l’information en temps réel, gains de productivité, etc.), il n’y a aucune raison pour que ça change dans les années à venir. Toutefois, un long chemin reste à parcourir avant de pouvoir bénéficier pleinement des innovations technologiques hyperconnectées.

Les multiples usages de l’hyperconnectivité informatique

Internautes, collaborateurs et chefs d’entreprises s’accordent à dire que l’informatique hyperconnectée leur offre la possibilité de créer de la valeur par le biais de solutions technologiques connectées permettant d’atteindre des objectifs de proximité, de productivité, de satisfaction et de profitabilité :

L’informatique hyperconnectée : de l’intérêt de prévoir une sécurité maximale

Les bénéfices de l’informatique connectée ne seront toutefois acquis que si une attention particulière est accordée aux échanges, à la collecte et au traitement de données liées à l’utilisation des technologies et objets connectés. D’autre part, il est indispensable de renforcer la sécurité des usages informatiques. Les responsables IT sont ainsi confrontés à un nouvel enjeu : celui de veiller à la fiabilité, l’interopérabilité et la sécurité des systèmes d’information et d’entretenir des relations de proximité avec les bons prestataires de services.

Le Groupe IGS propose un large panel de formations informatiques à la pointe de la technologie et des nouveaux enjeux de la connectivité informatique.


Je suis un cadeau de plus: un court-métrage pour le Nikon film festival

Pauline et Céline ont décidé de mettre à l’honneur la famille Noël… Une famille unique et particulièrement touchante. Découvrez le court-métrage des étudiantes et soutenez-les pour gagner le grand prix du public du Nikon film festival.

Déjà parents de six enfants, Clotilde et Nicolas Noël ont décidé d’adopter deux enfants : Marie, atteinte de trisomie, et Marie-Garance, polyhandicapée. Touchées et émues par leur histoire, Pauline Miqueu-Petit, étudiante à l’ICD de Toulouse et son amie Céline Goy décident de donner à voir l’amour qui lie cette grande fratrie à travers un court-métrage en lice pour le Nikon film Festival.

Une étudiante passionnée …

Pauline, passionnée par l’art et la création a intégré l’ICD, école de commerce et marketing du Groupe IGS, en Master commerce. Grâce à ses cours en communication et marketing Pauline et son amie ont réussi à monter un plan de communication précis et efficace leur permettant aujourd’hui de faire partie des 20 films les plus soutenus et des 50 films les plus vus sur 1374 en compétition !

Comme nous, soutenez le film “Je suis un cadeau de plus” avant le 8 février et faites gagner à ce court-métrage le grand prix du public du Nikon Festival !

L’interview de Pauline Miqueu-Petit, réalisatrice du court-métrage

  • Pourquoi avez-vous choisi de traiter le thème de la trisomie et plus largement du respect ?

L’histoire de la famille Noël, que nous avons découvert en lisant leurs livres, s’accordait très justement avec le sujet de l’édition 2018 du Nikon Festival « Je suis un cadeau ». Nous avons voulu porter plus haut l’émotion que l’on a ressentie au contact de cette famille, leur simplicité, leur regard si juste sur la vie et la véritable valeur accordée à la différence. Nous ne connaissions rien au handicap, avec eux nous avons découvert un combat pour la vie, pour l’amour.

  • Quel message souhaitez-vous faire passer ?

Aujourd’hui, on évolue dans un monde où le paraître et l’apparence semblent dominer notre quotidien. La technologie s’impose comme un véritable écran dressé en travers de la réalité. Les réseaux sociaux que l’on utilise continuellement détruisent quelque peu nos rapports humains. Pourtant, au milieu de tout ça, il y a la vie, tout simplement. Nous avons souhaité partager l’histoire de la famille Noël pour sensibiliser notre entourage et particulièrement les jeunes à ce qui compte le plus dans la vie : la tolérance, le partage, l’amour et les rencontres. Un rappel de ce qui nous rend finalement humain.

  • Personnellement, que vous a apporté ce projet de court-métrage et sa réalisation?

D’un point de vue personnel ce projet m’a permis dans un premier temps de faire ce que j’aime : écriture de scénario, réalisation (mise en scène, suivi du tournage et du montage, etc) ! Cela m’a aussi permis de rencontrer des gens incroyables et de pouvoir véritablement défendre des valeurs qui me tiennent à cœur. Au quotidien mon entourage, privé et professionnel, m’a vraiment aidé et soutenu dans ce projet. C’est beaucoup de rires et de souvenirs et finalement, c’est le plus important !


L’Atelier des savoirs accueille Eric Toledano

Eric Toledano, invité d’honneur de l’Atelier des Savoirs

L’Atelier des Savoirs a rassemblé des dizaines d’étudiants venus assister à ce cas d’étude géant de management, communication et gestion d’équipe autour du film « le sens de la fête ». Pour débattre avec les apprenants des écoles ICD, ESAM, IGS-RH et ISCPA : Mathilde Mouquet, directrice développement RH et RSE chez Lagardère Active, Francis Massé, président de MDN Consultants et intervenant de l’ESAM, et bien entendu, l’invité d’honneur Eric Toledano, coréalisateur du film.

Après une introduction autour de la création et de la production du film par les invités, au tour des étudiants de poser leurs questions lors d’un grand débat sur « les cas des protagonistes du film comme grille de lecture des situations en entreprise » : recrutement, gestion de crise, relations fournisseurs, prestataires ; tous ces aspects de la vie en entreprise ont été analysés au regard des anecdotes du film.

Les 3 invités ont pris le temps d’échanger avec les jeunes, notamment Eric Toledano qui a largement expliqué le sens de sa démarche et le processus de création de son film. Il est revenu sur les éléments de la vie quotidienne qui l’avaient inspiré, ses méthodes de travail, tant dans la préparation du scénario que sur le tournage ou lors de la promotion du film. Le scénariste a d’ailleurs expliqué : «un film doit répondre à un enjeu » ; ici, celui des relations humaines dans le monde du travail.

Les questions des étudiants ont été nombreuses, notamment sur la création du film et la profession de scénariste, signe d’un vif intérêt pour l’industrie cinématographique et ses nombreux métiers. A Eric Toledano de conclure ; « le cinéma est une histoire d’humanité », un message non sans rappeler les valeurs fondatrices du Groupe IGS : Humanisme, Entrepreneuriat, Professionnalisme.

L’Atelier des Savoirs : les rencontres culturelles du Groupe IGS Paris

L’Atelier des Savoirs est un rendez-vous unique, qui met le partage des connaissances, la pluridisciplinarité et la culture générale au cœur des apprentissages. Les événements de l’Atelier des Savoirs rassemblent ainsi étudiants, chefs d’entreprises, intellectuels, professeurs ou experts métiers pour des moments de partage et de réflexion.


Qu’est-ce que la laïcité? L’Atelier des Savoirs vous l’explique!

Mardi 20 février à 17h30, l’Atelier des Savoirs, événement phare du Groupe IGS, revenait sur l’un des grands principes de la République française et adressait les enjeux qui y sont liés. Qu’est-ce que la laïcité, comment est-elle préservée, comment peut-elle être mise à mal ? Ces questions contemporaines ont été adressées par Martine Cerf, historienne, Marc Bellanger, avocat et Ami Karim, chanteur, lors d’un grand débat animé par Jean Lebrun.

Pour se préparer à mardi soir et déjà comprendre la laïcité, revenons sur ce grand principe constitutionnel.

La laïcité dans la Constitution française

La Constitution de 1958

La République française, son organisation politique, administrative et territoriale sont régies par la Constitution française, en vigueur depuis 1958. Les 89 articles de la Constitution érigent les principes fondamentaux de la République. L’ensemble des lois doivent ainsi répondre à un principe de « constitutionnalité », c’est-à-dire être conforme aux principes énoncés dans la Constitution ; dans le cas contraire, le Conseil constitutionnel sera saisi et pourra, éventuellement, abroger la loi.

La Laïcité depuis 1958

La laïcité est inscrite dans le premier article de la Constitution française sous les termes suivants « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. (…) »

Ce premier article est d’importance capitale puisqu’il impose la laïcité comme élément fondateur de la République française.

Mais alors, qu’est-ce que la laïcité ?

La laïcité, c’est quoi?

Parce qu’elle est souvent sujette à de nombreuses discussions, parfois houleuses, rappelons les grands principes de la laïcité.

La séparation de l’Etat et des organisations religieuses.

La séparation de l’Etat et des organisations religieuses garantit la liberté de culte et la neutralité de l’Etat, des collectivités territoriales et des services publics. L’Etat n’arbore aucune religion et n’en érige aucune au-dessus des autres. Les cultes religieux sont exclus de l’exercice de tout pouvoir qu’il soit politique, juridique ou administratif.

La liberté de manifester ses convictions, dans la limite du respect de l’ordre public

La laïcité garantit à tous la liberté de conscience et la liberté d’expression. Les habitants de France sont dans le droit de faire ou non partie d’une religion, d’en changer, et d’exposer publiquement leurs opinions, dans la limite du respect du droit et de l’ordre public.

L’égalité de tous devant la loi, quelles que soient ses croyances et convictions

La République laïque assure l’égalité des citoyens devant la loi, la justice et les administrations publiques, quelles que soient leurs croyances et convictions.

Petit glossaire utile

Monothéisme et polythéisme

Derrière ces deux termes se cachent deux concepts relativement simples qui divisent les religions en deux groupes distincts.

Les trois grandes religions monothéistes, que sont, par ordre chronologiques : le judaïsme, le christianisme et l’islam érigent un seul dieu comme guide. Quant aux religions dites polythéistes, elles glorifient plusieurs dieux, c’est le cas, entre autres, de l’hindouisme ou du bouddhisme, mais aussi de nombreuses autres religions.

Le croyant, non-croyant, athée ou agnostique…

Le croyant est celui qui croit en un ou plusieurs dieux et qui estime se sentir en adéquation avec une religion mono ou polythéiste. A l’inverse, le non-croyant n’appartient à aucune confession religieuse. L’athée quant à lui ne croit en aucune religion car il estime que dieu n’existe pas. L’agnostique enfin ne se prononce pas sur le sujet de la religion, il n’est pas croyant, mais ne nie pas l’existence d’un ou plusieurs dieux.


Accompagner les entreprises de demain

Roger Serre, Délégué général du Groupe IGS, Jean-Philippe Leroy, Directeur général adjoint en charge de l’alternance et de l’apprentissage et Eric Ouaknine, Responsable de l’incubateur, étaient présents afin de présenter le projet. Pour Roger Serre : « il était nécessaire de créer une structure dédiée à l’entrepreneuriat des jeunes afin de répondre à cet appétit d’entreprendre qui les anime ». Selon lui, l’incubateur répond à « la pédagogie de l’encouragement appliquée au sein des programmes du Groupe. C’est à nous de donner la main aux plus jeunes générations afin de les aider à construire le monde à venir. »

Trois projets plein d’ambition

Trois projets ont donc été retenus pour faire partie de cette nouvelle structure : Cityzee, Convoicar et Pierre Feuille Ruisseau. Cityzee a été imaginé par Clara Sabban et Mathilde Delonca, 3e lauréates du Concours de création d’entreprise éco-responsable et citoyenne #2C2E 2016. Il s’agit d’un outil numérique qui a pour objectif de retisser un lien entre les élus locaux et leurs administrés. Elles ont actuellement signé leur premier contrat avec la mairie de Crosne (Essonne). Un avenir prometteur !

Convoicar est un projet porté par Thibault Sarrazin et Yann Ménard, amis depuis les bancs de l’école. Ils proposent aux automobilistes devant se rendre au garage pour la révision et/ou la réparation de leur véhicule de s’y rendre à leur place. Ils allient entreprise responsable et créative en instaurant un système ingénieux de transport à vélo pour leurs chauffeurs.

Enfin, Pierre Feuille Ruisseau est un bureau d’études créé par Tom Thieuleux spécialisé en gestion alternative de l’eau de pluie. Il réalise des prestations économiques et écologiques pour particuliers et professionnels en Ile-de-France. Un projet qui répond aux problèmes de gestion de l’eau rencontrés dans les milieux urbains comme ruraux.

Un incubateur pour les accompagner

Une charte détaillée encadre l’activité de l’incubateur et ses prérogatives. En effet, les incubés pourront bénéficier d’un accompagnement commercial, juridique et comptable. Ils auront également accès à des locaux avec salle de réunion, visio et bureaux connectés. Les formateurs professionnels et les apprenants du Groupe IGS seront enfin à leur disposition afin de les conseiller et de leur venir en aide dans la création de leur stratégie et de leur business model. « Nous souhaitons semer l’esprit entrepreneurial au sein de nos jeunes grâce à vous » a expliqué Eric Ouaknine qui ambitionne d’impliquer fortement les apprenants au sein des projets des incubés.

A Roger Serre de conclure : « le Groupe IGS doit relever plusieurs défis aujourd’hui : le défi du temps raccourci, du partage et de la convivialité. Ce que je souhaite pour le Groupe IGS c’est de réinventer cette pédagogie du partage et de renforcer les liens qui existent déjà entre le monde de l’entreprise et celui de l’enseignement. »

Un lien constant entre l’entreprise et le monde de la formation


Les ateliers collaboratifs de la CPME

Ouverts aux entreprises partenaires de la CPME et du Groupe IGS, cet atelier avait pour thème : « Installer les conditions pour réussir ma stratégie de développement« .

De 8h30 à 12h30, encadrés par un expert, une dizaine de dirigeants ont appliqué une méthode, analysé des problématiques, brainstormé, généré des solutions, pris les décisions adéquates, planifié un projet et enfin élaboré un plan d’actions.

Un instant d’échanges et de réflexions fructueux !

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